Bruxelles, me voici

Le temps était agréable et a permis des promenades ensoleillées. La ville est toujours en construction et l’on passe des quartiers anciens aux rues équipées de caméras de surveillance sans s’y attarder. Une ville riche qui sait recevoir en ses lieux touristiques mais qui a laissé à l’abandon bon nombre de places.

Bruxelles est grande et donne le sentiment de remonter le temps si on la parcoure lentement. Le mélange du moderne et du contemporain laisse la ville en plein anachronisme.

Ce que je préfère à Bruxelles, ce sont les gauffres. Non les bières, bien sûr. Et les frites ? Ma foi, la ville elle seule vaut le détour… à condition d’y prendre une frite, une bière et une gauffre.

Voici de ce séjour les photos qui ne manquent pas elles aussi de contradictions.

J’ai joué avec les effets photos en rentrant. Je n’ai pas pu m’empêcher d’essayer les filtres Années 60, Cinémascope et autres réglages HDR. Ca passe tellement bien avec des éléments comme cette enseigne du Bar Kafe Kreme ou encore ces bâtiments contemporains abandonnés et qui ont appauvrit de larges surfaces au sol.

En parallèle, on passe à côté de constructions appartenant à l’histoire et sur les façades desquelles le regard croise celui de caméras bien de notre temps. Un peu trop même. Les galeries marchandes sont luxueuses et le touriste est bien accueilli. Le contact humain étant un des autres points forts de Bruxelles.

Prochain séjour prévu en juillet ! Ca ne pouvait pas être la dernière comme annoncée avant le départ. D’ailleurs je pense qu’il n’y aura jamais vraiment de dernière avec Bruxelles.

En tout cas la prochaine fois, c’est Cheese Cake, Corbeau, Délirium et Triple Karmeliet, okay ? Et peut-être même une Duvel de route.